Collection Dominant Domine. La Forge De LEnfer (2/4)
Jai hérité de la forge de mes grands-parents près de Perpignan et situé dans un endroit considéré comme maléfique, le trou de lenfer.
Ayant perdu mon emploi nous emménageons avec ma femme dans cette forge que nous nettoyons, jusquau soir où je la suspends nue à un palan après avoir allumé un feu qui nous rappelle les histoires de mon grand-père.
Je me sers dun fouet pour rire au commencement mais que Valérie semble apprécier.
Tu en veux encore, fait oui ou non de la tête.
Le premier mouvement est un non, vite suivi de nombreux oui.
Tes fesses ?
Oui, franc et massif.
Je passe derrière, elle apprécie le soin que je mets à lui donner du plaisir même si cela passe par la douleur sa tête faisant de nombreux mouvements.
Je me recule, je zèbre une fesse que jatteins et jentends un son roque sortir du chiffon.
Je viens voir son visage mais ces bras hypertendus le cache, ses pieds ne reposant plus du tout sur le sol, je prendre conscience quelle a tourné de lil.
Je prends le sceau qui ma servi à remplir lauge et je lui jette dessus la ramenant à moi.
Les flammes se reflètent sur sa peau rougie par le fouet, ces mêmes flammes qui doivent la chauffer tellement elle en est rapprochée.
Cest à ce moment que jentends la sirène des pompiers au loin.
Dans un premier temps, je pense quil sagit dun accident sur la route passant au-dessus de la forge ou un incendie dans les premières maisons du village sans pour autant penser que cest notre feu qui est la cause de leur déplacement.
Voyant quils se rapprochent et que jentends le bruit du moteur de la camionnette de première intervention, je repousse sans ménagement Valérie dans la forge, ma main touchant son entre-jambe ou je sens de la cyprine couler le long de ses jambes.
Je viens juste, de refermer les deux portes massives quand ils débouchent freinant en catastrophe manquant de sarrêter au milieu de notre feu.
C'est un feu de la saint Jean ?
Non, je brûle des vieilleries, jignorais avec ma femme que cétait la nuit de la Saint-Jean.
Et votre femme, ou est-elle ?
Cela vous regarde, elle est partie se coucher ayant accompli un gros travail depuis ce matin.
On vous laisse, attention que le feu soit bien éteint avant à votre tour daller vous coucher, nous voudrions éviter de revenir ici une nouvelle fois dans la nuit, vous avez du courage de vivre ici après la réputation du secteur.
Qui vous a prévenu ?
Une voiture passant sur la route là-haut, la passagère a vu la lueur rouge du feu et a cru que la forge brûlait, ils nous ont appelés avec leur portable.
Nous avons demandé qu'ils se rendent sur les lieux, ils ont refusé certifiant quils avaient trop peur pour descendre jusquici, sur ce nous vous saluons.
Même les pompiers semblent atteints du syndrome du trou de lenfer, après mavoir salué, je les vois remontés dans la camionnette sans demander leur reste et partir presque plus vite quils sont arrivés.
Dès que jentends quils ont rejoint la départementale, jouvre la porte, Valérie toujours pendue semble dormir, mais est plutôt sans réaction.
Je manuvre la chaîne pour la descendre, je la prends dans mes bras et je vais la déposer dans leau de lauge, l'eau froide la ramène à moi.
Jenlève le bâillon mattendant à un flot dinjures.
Oh ! Christian, Oh ! Christian.
Et une troisième fois, Oh ! Christian me montrant quelle a aimé.
Une fois remise je la sors de leau, la couche sur lherbe tendre près de nous, tout le restant de la nuit nous faisons lamour en missionnaire, en levrette, elle pousse de petits cris de plaisir et de souffrance chaque fois que mes couilles battent ses fesses où la lanière la touchée plus profondément.
Les jours passent et régulièrement elle me demande de lemmener dans la forge, ayant fait mettre leau courante et surtout le courant électrique, nous rigolons de la réaction des ouvriers, nous lavons entendu oblige leur patron à terminer à 17 heures bien que la nuit tombe bien plus tard.
Je me mets à souder comme mon aïeule me lavait appris.
Je commence par lui faire un lit avec fixés par des chaînes des menottes que jai fait venir dun site internet ayant récupéré mon ordinateur et une connexion.
Quand lenvie nous prend, je lattache soit sur le dos sois sur le ventre, en plus du fouet très long et peu pratique dans la première pièce que jaménage sur un côté de la forge, jai fait venir des cravaches avec des spatules plus ou moins grandes et des godemichets de plus en plus gros, le maxi étant la réplique dun black considéré comme le plus gros connu sur ce genre de site.
Je la libère dans la journée, mais elle se cache chaque fois que lon sonne à la porte de clôture avec Interphone que jaie posée pour éviter dêtre surpris comme nous lavions été par les pompiers.
Sur ce lit nous jouons des heures entières au début puis elle reste attachée des jours sans manger et sans changer de position.
Chaque matin jarrive discrètement et je lui balance un seau deau glacé que je tire du puits principalement sur son intimité, quand elle est sur ce lit il lui est impossible de faire autrement que de se vider des nécessités de la vie pour tout corps humain.
Cette première pièce est construite avec un carrelage facilement nettoyable soit par seau deau soit au jet glacé grâce à la pompe que je démarre et qui remonte leau du puits.
Elle hurle, mais elle ne me demande jamais de marrêter, encore toute dégoulinante jadore soit lui baiser la chatte ou son anus qui en permanence dans cette position est pénétré par un plug soit par un gros gode.
Mais le lit est devenu banal à un détail près, Valérie se plaignant dêtre un peu grosse perd rapidement des kilos et sa taille saffine.
Elle est devenue accro à notre lit où je la menotte, mais se plaint que ma seule queue la satisfaisant de moins en moins.
Internet est parfait pour cela, je contact un site où des personnes principalement des espagnoles se proposent pour venir lhonorer, le week-end suivant jouvre le postrail à deux hommes bien membrés comme je lai demandé, je les conduis dès leur arrivée vers ma dulcinée.
La voir se faire prendre par deux gars en même temps est une découverte pour moi comme pour elle, elle hurle de plaisir pendant deux jours ayant de multiples orgasmes, je prends plaisir à la voir se faire enfiler comme une jeune mais vieille salope quelle est devenue.
Quand ils partent, je récupère leurs numéros de téléphone si jai de nouveaux besoins deux pouvant même venir avec des copains au gré de ma pute.
Le lit devenant répétitif, je construis une pièce avec une croix ainsi quune cage que je suspends à un autre palan fixe ou elle se fait caresser la chatte pendant des heures sans pouvoir se défendre ce qui la comble de joie surtout que, de temps en temps je la place sur la croix ou je la fouette allégrement.
Jadore voir son cul et ses seins zébrés de rouge en permanence et surtout ses fraises qui ont doublé de volume à force qu'elle soit excitée.
Plus son corps saffine, plus la pointe de ses seins augmente de volume, je deviens le Maître de ma femme jusquà ce matin où elle me fait une proposition qui dans un premier temps me paraît saugrenue.
Jai regardé sur Internet, des personnes sadomasochistes cherchent des lieux pour venir séclater sans être gêné par leurs voisins, jaime que tu me maltraites, mais jaimerais rendre la pareille à des hommes ou des femmes.
Tu es diabolique, je me vois bien en Maître des forges avec mon adjointe, toi Valérie qui pourrait tout à loisir serais dominé ou être dominé suivant mes envies.
Je vais commander des tenues en latex noir et de nombreux accessoires qui vont nous être nécessaire pour achever ton projet.
Pour la peine, tu peux venir dormir dans mon lit, il y a si longtemps que je dors seul.
Pendant le temps de finir de tout mettre en place, nous oublions nos jeux tant que le site Internet face son travail et nous amène nos premiers clients.
Bonjour Maître Christian, pouvez-vous nous ouvrir la porte de votre forge nous avons loué vos services pour deux jours.
Ce sont les premiers clients que nous recevons, le mari souhaitant que sa femme profite de tous les avantages de la forge, mais comme ils vont tester notre système, nous leur avons fait une remise de 50 %.
Cest un homme prénommé Christophe qui me fait une proposition que je mempresse daccepter.
Pierre, Pablo, Domingo et Emanuel sont arrivés depuis trois jours, Pierre et Pablo ayant été les deux premiers amants de Valérie étant venus dEspagne et comme je le souhaitais, ils sont venus accompagnés de deux autres garçons Christophe souhaitant que les femmes aient à leur disposition un maximum de sexe pour cette nuit de débauche.
Valérie voulant que notre forge soit performante a soigné tous les détails, elle a cousu des vêtements pour ces quatre garçons les faisant ressembler à des lutins avec pour dégager leurs attributs un système de pont identique au pantalon de ceux des jeunes marins de la nationale.
Bonjours Maître Christian, pouvez-vous nous ouvrir la porte de votre forge ?
La phrase mot de passe étant prononcée, jouvre le portail à distance et je vois arriver une voiture de marque Ford doù en descendent quatre personnes.
Je reconnais Christophe à son crâne rasé, il ma même dit quil était entièrement épilé.
À ses côtés se doit être obligatoirement Tristan le mari du deuxième couple alors qua larrière se trouve les épouses qui ont dû commencer à se donner du plaisir en chemin, leur tenue montre que leurs mains ont déjà fait des dégâts dans leur vestimentaire.
Notre premier week-end sado-maso se présente bien
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